9 déc. 2010

Quand planter des légumes devient un acte criminel

gif animé panneau
Imaginez que vous devenez un criminel parce que vous vous êtes fait un jardin potager. Qu’on vous traine en cour de justice comme celui qui vend sa cocaïne. Qu’on vous enferme parce que vous devenez un récidiviste des plants de tomates semés pour nourrir la famille.
La loi S510 stipule qu’il sera illégal de faire un jardin potager aux États-Unis. Le droit de cultiver notre propre nourriture est en péril. Le projet de loi du sénat américains S510, de sécurité des aliments interdira le jardinage et la conservation des semences.  La loi de la modernisation de la sécurité alimentaire a été appelé le projet de loi le plus dangeureux de toute l’histoire des États-Unis.  Il réglementera  le droit du public au développement, au commerce et au transport d’aliment. Ce qui donnera plus de pouvoir pour réglementer votre plant de tomates dans votre jardin. Le bill S510 prévoit d’arrêter et emprisonner des gens qui vendent des concombres dans les marchés agricoles. Il criminalisera le transport des produits bio-énergiques, si vous ne respectez pas les lois du gouvernement autoritaire des États-Unis.
Mais attention ce qui est en préparation au lever du soleil au USA est ensuite au coucher  en Europe........ 

Le Docteur Shiftshopra dénonciateur des risques pour la santé au Canada, prévient : “Ce sera l’autorité la plus offensive contre la culture, le commerce et la consommation de produits alimentaires et agricoles de notre choix. Elle sera inconstitionnelle et contraire au droit naturel ou à la volonté de D.ieu.” “Cette loi tyrannique met toute la production alimentaire de votre jardin sous l’autorité du Ministère de la sécurité intérieure “. “Ce sont les mêmes personnes qui ont installés les scanneurs corporels dans les aéroports qui ont voulus cette infâmie“.
Cette loi donnera aux gouvernement américain le pouvoir d’arrêter tout producteur de denrées alimentaires, comme étant un criminel, un passeur pour la seule culture de la laitue et de la vendre sur le marché d’un agriculteur local.
La souveraineté américaine est mise ainsi sous la supervision du Commerce Mondial (EMC) et sous le codex alimentarius dont on dépendra. Il est question de criminaliser la conservation des semences en faisant passer les personnes qui sauvent les semences traditionnelles en criminel de droit commun. Ceci est évidemment, conçu pour donner à des entreprises comme Monsanto les monopoles sur les semences. Les petits producteurs se verront poussés à la faillite en donnant le monopole sur les entreprises internationales.
Entre 1950 et 2008 le cancer a augmenté de 300 %. De plus, 500 produits chimiques ont été autorisés dans l’alimentation, l’agriculture, les produits d’entretien, etc.
J’ai voulu en savoir plus.
Les résidus de pesticides sur vos poivrons, la teneur en gras et en sel de vos croustilles, l’étiquette de votre fromage préféré, même la composition de la moulée de votre chien. Le Codex Alimentarius régit à peu près tout ce qui se mange. Partout dans le monde. Faut-il s’en inquiéter?
«Oui», répond sans hésiter Geneviève Dufour, professeure adjointe en droit international à l’Université de Sherbrooke. «C’est très inquiétant parce qu’on donne à des normes scientifiques et techniques une importance démesurée. Ce sont elles qui fondent nos réglementations et on laisse de côté les choix de société», justifie-t-elle.
Cela est d’autant plus vrai depuis que l’Organisation mondiale du commerce (OMC) se base sur le Codex pour déterminer qui a raison et tort lors de litiges commerciaux. De crainte de faire l’objet de poursuites interminables et très coûteuses, la majorité des États rentrent donc dans le rang. Surtout les pays en développement, qui n’ont ni les experts pour argumenter ni les moyens de prendre des risques.
L’Europe tente parfois de tenir tête aux États-Unis, comme dans le cas du boeuf aux hormones, réglé à la satisfaction de ces derniers, ou dans celui plus récent de la volaille au chlore, qui s’éternise. Le dossier de l’étiquetage des OGM est tout aussi explosif, mais comme le Codex n’a pas encore statué, les adversaires se contentent de se toiser.
 «L’objectif de la Commission du Codex, c’est d’adopter des normes pour que tout le monde soit pareil. L’important, c’est d’harmoniser. C’est le but de l’OMC aussi. Quand tout le monde va manger la même chose et va accepter le même degré de risques (sanitaires), on n’aura plus besoin d’avoir des lois différentes dans chaque pays et les aliments vont pouvoir passer d’un à l’autre sans restriction», explique la spécialiste, qui se dé-sole que l’initiative soit si peu connue du grand public. 
Même les groupes de défense des consommateurs, qui se font un devoir de surveiller ceux qui nous donnent à manger, sont dépassés par l’ampleur et la technicalité de ces négociations internationales. «C’est presqu’une job à temps plein de comprendre ce qui se passe là. On n’a pas les moyens de payer quelqu’un pour faire juste ça», admet Charles Tanguay, porte-parole de l’Union des consommateurs. 
Celui-ci a la nette impression que les préoccupations des simples citoyens passent bien après les intérêts des multinationales de l’agroalimentaire. Conscientes de l’importance des décisions qui se prennent au Codex, ces dernières y délèguent des lobbyistes qui suivent de près l’ensemble des discussions. Juste au cas où…
Cela dit, M. Tanguay souligne que le programme a aussi du bon, notamment parce qu’il assure la sécurité sanitaire et l’innocuité des aliments à un maximum de personnes, en plus de baliser l’étiquetage. «Il y a plein de petits détails qu’on tient pour acquis. Mais si on peut aujourd’hui manger des produits de plusieurs régions du monde avec une relative sécurité et une relative uniformité dans l’information, c’est en grande partie grâce au Codex. C’est donc loin d’être inutile», plaide-t-il.
 
Priorité santé et sécurité
Ce n’est pas Johanne Beaulieu, directrice de la Division de la protection des consommateurs à l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) et chef de la délégation canadienne au comité de l’étiquetage des denrées alimentaires du Codex Alimentarius, qui dira le contraire. Son enthousiasme par rapport au projet des Nations Unies est intact, malgré les critiques qui fusent et le fait que «le Codex, ça n’avance pas vite». Car elle constate que les participants, pour la plupart scientifiques et fonctionnaires, travaillent pour améliorer la santé des populations et donner la meilleure information aux consommateurs.
Mme Beaulieu admet que les anciens sont nostalgiques de l’époque où le Codex n’avait pas à se préoccuper des enjeux commerciaux qui viennent avec l’attention de l’OMC. «Heureusement, cette idée n’est pas là pour tous les items. On est encore un groupe de scientifiques qui a à coeur la protection des consommateurs et qui essaie de trouver des solutions pour eux», assure-t-elle.
La biochimiste se dit aussi très encouragée par la participation accrue des pays émergents et en développement aux discussions. Très terre à terre, ces nouveaux interlocuteurs reviennent aux bases du Codex, la santé et la sécurité. «Ça amène une richesse dans les débats qui va nous faire beaucoup avancer», croit Mme Beaulieu.
 
183 pays
Le Codex Alimentarius (ou «code alimentaire») est le résultat des efforts conjoints de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l’Organisation pour l’agriculture et l’alimentation, toutes deux liées aux Nations Unies. Sa création remonte à 1963. Le Codex – on préfère l’appeler par son petit nom! – compte aujourd’hui 183 pays membres, qui s’entendent entre eux pour établir des normes internationales de production, de transformation et d’étiquetage des aliments avec pour principal objectif d’assurer la salubrité alimentaire et la protection des consommateurs. L’harmonisation réglementaire qui en découle facilite les échanges internationaux. Bien que l’adhésion aux normes demeure volontaire, la plupart des pays ont en effet tendance à s’y coller car depuis 1995, elles servent de référence à l’OMC en cas de différent commercial.
Derrière des atours séducteurs d’apparence philanthropique, le Codex n’est que le bras séculier d’une organisation occulte (made in U.S.A), dont la vocation secrète n’est que l’exploitation à outrance, quelles qu’en soient les conséquences et la mise en esclavage de l’humanité. D’ailleurs, il est clair que la mise en place de cet organisme mondial n’a fait que créer ou aggraver les disparités socio-économiques, contrairement à ce qui était promis au départ. Il s’agit en fait, d’une redoutable dictature tenant sous son joug les gouvernements eux-mêmes avec la menace permanente de terribles moyens de rétorsion commerciale. Par exemple, l’Europe paye actuellement tous les ans, une amende de 116.8 millions de dollars pour son refus d’importation de veau aux hormones.
Le 13 mars 2002, nos euro-députés adoptèrent des lois en faveur de l’industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires. Une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions inonda pourtant les messageries des euro-députés, à tel point que les communications internes en furent bloquées. Malgré près d’un demi milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées. Ce vote fut un véritable déni de démocratie augurant de futures difficultés pour la construction de l’Europe.
En fait, une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employée en permanence pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l’éducation.
L’information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d’effets secondaires dangereux en les reniant publiquement.
Après avoir établi la genèse de ces crimes en col blanc et prouvé la responsabilité des industries pharmaceutiques concernant la mise en place d’une politique mondiale de génocide disséminé, le Docteur Matthias Rath a remis un acte d’accusation pour crime contre l’humanité à la Cour Internationale de Justice de la Haye en juin 2003.
A partir de juillet 2005, les directives du Codex Alimentarius, nommées Directives Européennes sur les Suppléments Alimentaires, devront être appliquées sous peine de sanctions financières.
En quoi consistent-elles ?
  1. Il s’agit de supprimer tout supplément alimentaire naturel. Tous seront remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et seront uniquement disponibles en pharmacie sur prescription médicale.
  2. Les médecines alternatives telles que l’acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine… se verront progressivement interdites.
  3. L’agriculture et l’alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l’agriculture dite bio-dynamique.
  4. L’alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée (ex : irradiée au Cobalt – le terme technique employé pour rassurer la population étant « ionisé ».)
Le Codex Alimentarius contrôlera l’accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et minéraux. L’élargissement des contrôles opérera progressivement, mettant à mal toutes les médecines alternatives ancestrales ou naturelles.
ETC. ETC
Savez-vous qui a eu le premier, cette grande idée qui fait plaisir qu’aux riches ? Le président de IG Farben,  Fritz derMeer . Cette entreprise produisait le gaz des chambres maudites : le Zyklon B qui a tué des millions de personnes. IG Farben produisait l’acier des camps de la mort. Il produisait des munitions de produits chuimiques et pharmaceutiques pour une seule raison : dominer ! Fritz derMeer a été condamné pour crime contre l’humanité par le tribunal de Nurenberg. Il était un artiste, un type plein d’idées. On dit qu’il serait l’auteur de Arbeit macht freile travail rend libre, écriteaux à la porte des camps de concentration. En prison il a eu tout le temps pour trouver comment dominer l’homme et ce tous les hommes. Qui contrôle l’alimentation, contrôle le monde était son adage.

J,ai la certitude que l’antéchrist de la fin, sera un pervers narcissique. C’est clair! Son égo et l’amour qu’il a pour lui, fera rougir les plus hautains de la terre. Son but, provoquer une telle dispersion qu’on s’entretura pour des questions d’argent.  

Par André Roy